il projette les couleurs vives de l’imaginaire illimité de la sensation de départ. avec énergie et inquiétude
il déshabille la jeune femme charnelle, brutale
goûter au délicieux contact, physique, avec l’émerveillement, le vent, et mille autres énigmes
vague vie, lentement poussif, sans grâce, incertaine, attente vide. routine œuvrait jusqu’à l’insignifiant, et le cimetière
comme un esprit fantôme, il rêve de la découverte de la magie enveloppante de sa poitrine
le regard fendu, il a perdu la trace vécue. se fait mécanicien des vagues d’amours
souvenirs de rires emportant un visage, chantant le ruissellement qui éclate sans boussole, comme un appel irrésistible qui pousse ailleurs et dessine la vie nue